lundi, novembre 05, 2007

Pas de Gphone pour Noël

Google ne commercialisera pas de Gphone pour le moment. Toutefois, le groupe de Mountain View lancera un OS pour les téléphones mobiles, appelé Android.

Il s’agit d’un OS basé sur Linux, permettant aux fabricants de mobiles d'intégrer les services de Google, comme par exemple GMail, Blogger, Maps ou encore YouTube.

34 sociétés ont créé la "Open Handset Alliance" qui a pour but de développer et de distribuer des téléphones mobiles et des services associés.

"Les premiers téléphones basés sur la plateforme Android devraient être disponibles au grand public au second semestre 2008."
Source : silicon.fr

2 commentaires:

William Skyvington a dit…

J'avais été tenté d'emprunter votre jolie image d'un appareil téléphonique blanc marqué Google et de la réafficher dans mon blog avec la mention « Ceci n'est pas un Gphone ! » Google emploie le terme téléphone, me semble-t-il, pour désigner, non pas un objet réel, mais plutôt un concept téléphonique susceptible d'être concrétisé d'une manière soft (par du logiciel) dans toutes sortes de contextes matériels, y compris sur un simple ordinateur (notion d'un téléphone virtuel, comme le système Skype). C'est-à-dire que les approches d'Apple et de Google, sur le terrain téléphonique, seraient tout à fait différentes. Si je tente de suivre les évolutions des uns et des autres dans ce domaine, c'est que j'ai toujours envie, dès que les moyens de développement logiciel seront mis à notre disposition, de réaliser un produit permettant aux amis d'un ermite de se servir de leurs portables pour vérifier qu'il n'est pas mort. Noble projet.

cm a dit…

« Ceci n'est pas un Gphone ! » - Excellente remarque !

Par ailleurs, je suis assez d’accord avec la suite de votre message. Peu sociable – je préfère rester chez moi plutôt que de me rendre dans un endroit peuplé avec des personnes à qui je n’ai rien à dire – je m’intéresse à ces nouveaux produits par curiosité intellectuelle, d’une part, et, d’autre part, pour vérifier que mes amis – dispersés aux quatre coins du monde – sont toujours là.

Le "virtuel" peut, parfois, avoir certains avantages.