Il s'agit tout d'abord d'hypersensibles aux produits chimiques (MCS), mais les hypersensibles aux ondes électromagnétiques sont également bienvenus.
Rapidement, la cohabitation se révèle difficile :"Ainsi,
durant la visite du bâtiment par la journaliste de l'AFP, une
personne surgit en pleurs: souffrant d'hypersensibilité
électromagnétique mais pas chimique, elle se plaint que les
interdits en matière de parfums et produits de beauté sont trop
stricts. Quelques semaines après le reportage, elle a d'ailleurs
quitté son appartement."
Source
: 20min.ch
Mais comment vivent ces personnes ?
Fenêtres fermées à longueur d'année ?
Elles ne sortent jamais faire les courses ?
Le facteur ne leur apporte jamais un colis ?
Dans la même édition du journal, on nous apprend qu'un cimetière berlinois réserve une parcelle de 400 m2 aux lesbiennes.
"Nous
sommes juste des militantes lesbiennes féministes qui se sont
aperçues qu'elles vieillissaient et qui souhaitaient choisir auprès
de qui elles voulaient être enterrées.", précise la membre de l'association Safia, à l'origine du projet.
Source
: 20min.ch
Si même au cimetière on n'a pas envie de parler, de se mélanger aux autres - où va-t-on ?
Adolescente, je rêvais de m'installer dans les Pyrénnées pour élever des chèvres.
Je crois que je vais finir ma vie au fin fond du Graubünden en élevant des loups.
Les êtres humains me fatiguent de plus en plus.
1 commentaire:
Le problème de l'appartement donne un bel exemple du fait de vouloir résoudre un problème en en traitant une conséquence seulement.
L'exemple du cimetière est juste stupide. C'est avec des actions dans ce genre que des luttes sont discréditées.
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